En direct de Barcelone
L'arrivée en Islande en novembre dernier, outre qu'elle s'est faite de nuit, fatigué, n'a pas été un grand choc. A la différence de celle à Barcelone. Le matin, je suis dans une ville toute calme, un peu friode, où je ne circule jamais en voiture (ou presque). Du coup je ne suis pas sujet au grand panneaux de pub qui balise les entrées de ville (rare sur les pistes cyclables), encore moins aux enseignes française. Et là, j'arrive en bus, il fait presque 20deg, il y a des panneaux partout (dont Carrefour, Orange, Elf, la Fnac, Decat), des 6 voies qui se croisent, pleins de voitures. Bloups! Ça fait beaucoup tout ca.
Ensuite je regarde un peu les batiments. Ce ne sont pas des tours de bétons de 30 étages, mais je suis parti d'un pays où la norme est entre 3 et 6 et me retrouve avec 10 ou 15 étages. Même les parkings sont sur 10 étages. Et au bout de 10mn, premiers embouteillages. Bienvenue dans la vie réelle.
La première soirée en ville me rappele pas mal Lyon. Il fait bon, plein de gens déambulent, on trouve quelques statues vivantes, des mecs qui mélangent les boîtes et à toi de deviner. On descend jusqu'au port, remonte par la vieille ville, s'arrête prendre un verre dans le seul bar fumeur de la ville. Il est minuit, demain nous attend une longue journée.
1 commentaire :
hum même réaction que Maman et Christian (enfin eux ils ont une première réaction de ce style déjà à Stockholm).
Bosse bien petit citadin
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