31 août 2005

Goodbye Lenin

Hier soir, projection en plein air de "Goodbye Lenin". C'était la dernière projection de l'été dans le cadre du "Cinéma sous les étoiles" organisé par l'institut Lumière. Une estrade avec 200-300 chaises, une place avec 500 personnes, et un ecran de taille bien correcte. En plus il faisait bien 22°, le pied.
Seulement, j'ai oublié de prendre mon appareil, parce que je pense que des attroupements pareil, c'est pas tout les jours. Dommage !
Bon, j'ai passé sous silence la distribtution de glaces (si si, des bons batonnets chocolat, miam !). Ce n'est pas comme si je n'avais pas pris de dessert avant (une galette aux pommes et une banane chocolat chantilly), mais bon, ça passait bien.
Et cette projection m'a permis de terminer ce film que j'avais commencé à voir il y a un peu plus de 6 mois.
Pour ceux qui ne connaissent pas, louer le DVD.

19 août 2005

Jour 5 : Tessaujare - Vakkotavare - Gällivare

10km, 50m de dénivellé positif, 3h
Dernier jour de marche. Hier, pour cause de point de d'eau, nous avons marché assez loin. Au matin Tessaujare est déjà à 6km. Il ne nous reste donc plus que 10km avant de terminer cette portion de la Kungsleden.
Petit dèj : deux femmes passent.
Pliage de tente : un groupe de suédois passent.
Ce n'est pas que l'on met du temps le matin avant de partir, mais un peu quand même. Surtout que dès les premiers hectomètres il faut s'arreter et sortir l'appareil photo pour les rennes qui viennent nous rendre visite. Le chemin est cours, mais on est pas rendu.
Au bout de 2km, nous avons passé le point culminant de la journée, il ne nous reste plus qu'à descendre, lentement, sur le plateau.
Chemin faisant nous rattrapons le groupe de suédois, et un peu plus tard les 2 femmes (ça descend, donc ça va vite non ?). Heuresement que nous sommes ralentis par des genoux récalcitrants et des chaussures qui commencent à craquer (elles tiendront jusqu'au bout).
Arrivé à Vakkotavare, un grand lac s'ouvre devant nous. Eau turquoise en direct des glaciers, pas une algue, pas un poisson. Parfait pour un bain, au détail près qu'elle est à 4°c.
A savoir que Vakkotavare, fin provisoire de la Kungsleden, est constitué en tout et pour tout d'une maison, celle de la gardienne. Et le seul interêt est le bus qui passe à 16h qui nous emmenera à la gare la plus proche (1h30), Gällivare. Et c'est parti pour une nuit de train avant l'arrivée à Stockholm.

Je veux y retourner !!

18 août 2005

Jour 4 : Singi - Teusajaure

20km, 700m de dénivellé positif, 7h

En fait, il faut savoir que le départ ne s'est pas fait vraiment de la station de Singi. En effet, pour ceux qui ont lu le post sur le jour 3, nous avons évité la station par le sud. Donc au matin, avant même de plier la tente, nous sommes à 8km de la station.
Et c'est reparti pour une nouvelle journée. La veille, le final a été très dur, car avant d'atteindre la plaine pour camper, le chemin semblait long, long, long. Donc aujourd'hui, nous allons éssayer de faire un peu plus court, histoire de se reposer un peu.
Le début est assez tranquille, nous surplombons la rivière en direction du lac dans lequel elle doit se jeter. Une heure plus tard, nous passons par la station de Kaitumjaure. Station un peu vide, cause les randonneurs sont déjà partis, la boutique est fermée. Bon, juste le temps de se débarasser des poubelles et nous attaquons la descente vers la rivière (qui en fait n'est plus la même qu'au début, cause celle du début s'est jetée dans le lac créé par celle que nous allons traverser, en amont du lac).
Entrée dans le premier parc naturel de la journée : (oublié). 2km de montée (600 à 950m), 5km de plateau, avec devant nous la pluie qui ne nous encourage guère à avancée (nous sommes au sec), 2km de descente (retour à 500m). Rien de bien intéressant.
Nous arrivons donc à la station de Teusajaure, en bordure d'un lac qu'il faut traverser. Pour cause de manque d'organisation (il y a 3 bateaux à rame, au moins un de chaque coté tout le temps, mais un seul de notre coté : si l'on veut traverser, il faut le faire une fois, revenir avec 2 bateaux et repartir, long et fatiguant) nous faisons la traversé au moteur. Reposant pour nos p'tites gambettes.
Et de l'autre coté, il faut remonter à 900m sur 2 km (mal foutu ce pays !). Seulement les arbres aiment bien la proximité du lac, ainsi que les moustiques, donc le chemin se poursuit jusqu'à ce que nous les ayons semé et que nous trouvions une place en bordure d'eau. Chose faite vers 17h, ce qui nous laisse le temps de profiter un peu de la soirée pour se délasser, se laver (brr, froide l'eau) et manger (beaucoup mangé ce soir là, c'était bien !).

17 août 2005

Jour 3 : Kebnekaise station - Singi

20km, 400m de dénivellé positif, 7h

Après la montée, il est maintenant temps de se diriger vers la sortie, 35km au sud-ouest. Deux choix s'offre à nous : contourner le massif de Keb par le nord, pour admirer les glaciers, ou par le sud pour gagner une journée. Pour cause de genoux fatigués (les 1600m de descente, sous la pluie, dans les cailloux, je ne sais pas pourquoi mais les articulations n'apprecient guère), le choix se fait sur la route du sud. C'est donc parti pour quelques kilomètres de marche. La promenade commence par une descente dans la vallée, pour retrouver un peu de terre et amortir les pas, puis s'élève peu à peu. Au bout de trois heures de marche, pause déjeuner pour discuter des options : continuer droit (donc vers l'ouest) sur la station de Singi, sans avoir a monter de trop, ou alors couper vers le sud avec 400m de montée, et autant de descente. Toujours pour des raisons de genoux, la voie la plus courte est choisie. Et bien nous en prend ! Après 3/4h de montée, un lac, avec une petite île au milieu se dévoile devant nous. En fond, les montagnes enneigées, un plateau herbeux. Le tout est très reposant, et j'envie le groupe de suédois croisé un peu plus loin qui prévoyaient de bivouaquer là. Je l'aurais bien fait aussi, mais il fallait avancer encore.
Et en fin de journée, nous nous sommes posés à coté d'une ancienne hutte sammi, sur une grande plaine avec la rivière juste en dessous.

16 août 2005

Jour 2 : Kebnekaise station - Kebnekaise - Kebnekaise station

19km, 1700m de dénivellé positif, 8h30

Pourquoi attendre, autant faire le meilleur tout de suite : la montée sur le toit de la Suède. Kebnekaise, 2113m.

Départ à la fraiche, 8h30, histoire d'être sûr de revenir avant la nuit (que je n'ai jamais vu pendant les 5 jours), cause la veille à la station on nous a indiqué 12h de marche. Un petit kilomêtre pour se chauffer, de la tente à la station. Les prévisions sont "Pluie de 8h à 12h, pluie de 12h à 16h, pluie de 16h à 20h". Encourageant, mais pour le moment il ne pleut pas, alors profitons-en. Le second kilomètre se fait à la suite d'un groupe qui part faire l'ascension par le glacier, nous monterons par la route de l'ouest, sans glacier mais considérée comme beaucoup plus dure.

A 3 km, 800m d'altitude, l'ascension commence. La route tourne sévèrement sur la droite pour remonter une rivière encaissée. Les arbustes ont déjà disparus, les herbes se font de plus en plus rare, le premier névé est dépassé à environ 950m d'altitude (fait chaud dans le pays !).

4 km, 1000m d'altitude, un peu de répis, le chemin nous mène dans un très beau cirque : une série de cascades de 200m de haut est entourée de pics de 600 ou 700m. En fait, les sommets des pics ne sont pas visibles, car le plafond nuageux se trouve à 1200m. Et sûr la gauche, notre chemin s'élance justement vers ce plafond, à flanc de coteaux. En guise de vigne, notre chemin est semé de rochers. Toute trace de vie végètale a disparue. Pour les animaux, il y a 4 personnes parties un peu plus tôt qui nous montre le chemin.

5 km, 1300m d'altitude, je commence a montrer quelques signes de faiblesse. La montée est rude, dans les cailloux, le sac, même allegé, doit avoisiner les 10kgs. Ce qui ne nous empêche pas de rejoindre les 4 personnes et d'entamer la seconde portion avec eux. Mon rythme : 20 pas, 5 à 10s de pause (quand je dis que je fatigue !), tandis que la blonde suédoise qui m'accompagne me distance peu à peu, puis m'attend, et me distance à nouveau.

6 km, 1830m d'altitude, une forêt de kairns se dresse sur le sommet du Vierranvárri embrumé. C'est assez impressionant à voir ces kairns qui sortent de la brume quand on ne s'y attend pas. Je passe en tête, par le truchement des pauses, suivi par ma comparse, les 4 autres passant à leur rythme. 200m plus bas, une rivière a fait son lit entre ce sommet et notre destination. Donc descente au galop dans les cailloux (bonheur !), histoire de prendre un peu d'avance. Au passage je profite du cours d'eau pour recharger avant la dernière montée.

7 km, 1700m d'altitude, j'ai repris mon rythme de 20 pas, une pause. Le nuage m'empêche de voir à plus de 20m. Heuresement, depuis le début le chemin est très bien indiqué par une succession de points rouges sur les rochers. Salutaire par moment, car dans la caillasse, la route est parfois difficile a deviner. Les premiers courageux de la journée redescendent déjà, il nous reste 1h30 de montée.

8 km, 1950m d'altitude, nous arrivons au refuge de Keb. Apercu 1mn avant de l'atteindre (merci nuage), il est un peu surélevé (certainement pour laissé passer les cailloux et la neige qui, vu la pente, ne doivent pas manqué de vouloir rejoindre le bas). Nous y entronsm pour nous restaurer (toute une histoire ce repas) et nous changer en prévision du dernier assaut. Car le haut de Keb est un glacier, nous sortons donc ce que nous avons de plus chaud (je passe ainsi de 2 épaisseurs à la station, une troisième dans la monté, à 4 pour ce dernier sprint). En sortant, nous voyons nos 4 compagnons d'infortune se diriger vers le refuge (même pas vrai qu'on est monté vite !). Après un départ gentillet, le chemin reprend sa montée et moi mon rythme.

9 km, 2100m d'altitude, nous marchons sur le glacier. Il nous est apparu soudainement, lorsque qu'une bribe d'éclaircissement nous a permis de le distinguer du nuage. Jusqu'à présent, tous ceux que nous avons croisé étaient équipé de crampons pour glacier. Nous non. Je ne suis pas à un détail près et attaque la montée sans appréhension. Ce qui n'est pas le cas de tout le monde. Démonstration à l'appui, j'arrive à faire admettre que de simples chaussures de marche tiennent suffisament pour quelques mêtres. Mais le sommet est toujours caché dans le nuage... Mais pas pour très longtemps. 200m plus loin, et quelques mêtres plus haut, nous nous retrouvons sur une corniche d'environ 1m de large. A droite, 500m de chute à 70%, à gauche la même chose. Et au sommet, deux petits drapeaux finois et suédois. Nous voila perdus dans un nuage à 2113m d'altitude, 300km au nord du cercle polaire.
10km, retour au refuge, reprise du sac, et attaque de la descente. Sur le chemin, nous avons croisé les 4 grimpeurs qui se dirigaient vers le glacier final. La descente se fait beaucoup plus facilement que la montée, pour qui a des genoux en état. Le ciel semble vouloir nous montrer le chemin et se dégage. Salutaire pour moi, car je perd un peu les points rouges et fait une descente hors-piste un peu houleuse (galopades pendant 50m avec les cailloux qui suivent, humm, houleux).

12km, de retour au sommet intermédiaire. La montée s'est faite plus rapidement que prévus, j'en profite pour prendre encore quelques photos, juste avant de sortir le pantalon de pluie et le rain-cover car la pluie commence à tombée (il est 14h30, il était temps). Elle ne nous lachera plus avant l'arrivée.

Retour au campement moulus, mais heureux (et avec le petit sauna pour se remettre, c'était vraiment très agréable).

15 août 2005

Jour 1 : Nikkaluokta - Kebnekaise station

18km, 200m de dénivellé positif, 5h

Après moults péripéties dues à Connex (société de transport francaise en charge du train déservant le nord de la Suède), nous démarrons notre marche avec 2h de retard. Il fait un peu froid (7o), mais le chemin est très bien aménagé : plat, avec une épaisseur de copeaux de bois pour épargner les genoux. Cela ne dure qu'un temps, et après 2km les premiers cailloux font leurs apparitions. Rien de bien méchant malgré tout.

Le chemin s'élève lentement, et la tente est posée à 700m d'altitude. Précision : à cette hauteur, il n'y a plus d'arbres, les arbustes ne dépassent pas 2m de haut, uniquement le long des rivières. Autrement, les herbes et les mousses disputent l'espace aux cailloux. Les moustiques sont absents pour notre plus grand confort.

13 août 2005

Retrouvailles et trekking

Apres des retrouvailles avec mes anciens voisins de Jagargatan (pres d'un an s'est ecoule depuis, ca passe vite) dans les rues de Stockholm, je m'apprete pour un depart vers le grand nord. Direction : Kebnekaise, le toit de la Suede (2000 et quelques metres). Reste bien au chaud dans ta penate, moi je vais faire du camping a 5deg.
Ce post sera retape avec un clavier francais un peu plus tard.

10 août 2005

Svensk resa

Petites vacances pour moi, je pars ce soir pour la Suède !
A bientôt les gens !

08 août 2005

Week-end en Vercors

Après une pause déjeuner samedi midi à Grenoble, direction le Vercors. Objectif : un site simple dans les falaises de Prèles.
Bilan : après une montée sur Saint Nizier de Moucherotte, Moon veut grimper. Du coup on s'arrete, direction les Trois Pucelles. Pas de bol, le site n'est pas référencé dans le topo acheté le matin même ("Grimper en Isère", 13€). On prend le sac avec le matos, et on marche en suivant les panneaux. Comme par hasard, on en loupe un, du coup on se retrouve à monté au Grand Moucherotte avec la corde sur le dos et les sandalles au pied. Moyen, on fait demi-tour et on improvise une direction (ce n'est qu'au retour que l'on verra le panneau).
2mn plus tard, une falaise équipée se présente devant nous, avec une foule constitué de 2 personnes : Moon et moi !
Il est 15h, on partira à 19h30, après avoir fait un 6b en dévers et un 6c+ en ramant (enfin, surtout moi, mon assureur ne s'étant pas trop mouillé). Entre-temps quelques autres grimpeurs (5) seront passés, nous apprenant que le site s'appele "La Roche" et figure dans le topo (qui pour la peine est dans la voiture). No comment.
Retour à la voiture, direction Villard de Lans pour rattraper Choranches. En chemin on trouve une camionette-pizza pour le diner. Seulement, comme la nuit tombe (19h30 au départ du site, 20mn pour rallier la voiture, dans le Vercors, les étoiles apparaissent très vite), on décide de manger la pizza après avoir montée la tente. Mais avant de la montée, il faut trouvé un coin tranquille. Sur la carte, entre Villard et Choranges, y a un coin sans trop d'habitation : idéal ! Manque de pot ce sont les gorges de la Bourne (très jolies, mais bien encaissé : falaise à gauche, falaise à droite, raté pour planter la tente).
On se retrouve donc sur la route de Rencurel (Chp de France Escalade Espoir 99). De villages en hameaux, pas trop de place pour la tente. Surtout qu'il est 21h30, que l'on commence à ne guère voir plus loin que la route. On se retrouve au fond d'un champ au col de Romeyrère (1074m), sur un sol vaguement en pente. La pizza est froide, mais ne cherché pas les restes pour autant.
Après une nuit de sommeil, debout 8h30 (pour moi, Moon bouquinait depuis un moment), pliage de tente et p'tit dèj, puis direction Tina Dalle sur le domaine de Presles. En chemin quelques photos (on est toujours dnas les gorges de la Bourne, et le Vercors coté ouest je ne connais pas), on arrive sur le parking du site vers 11h.
On prend un chemin qui mène vers la falaise et on cherche les voies. Cette fois-ci on a le topo en main, mais les voies ne correspondent pas : au lieu d'avoir du 5/6, on se trouve face à du 7 (cotation d'escalade). Un peu trop compliqué pour nous. On trouve tout de même deux voies que l'on essaye, ave un vague succès (j'ai failli laissé une ou deux dégaines sur une voie, faute d pouvoir atteindre le sommet). Comme on se sent un peu seul, et que l'on veut tout de même trouvé Tina Dalle, on retourne au parking. Et là on s rend compte que le secteur est juste au-dessus du parking (c'est chiant Prèles, y a des voies partout !). Du coup on grimpe, et on se fait quelques voies.
17h, on commence à fatigué, on rentre (attention, les aventres ne sont pas finis!). Après la traversé de Pont-en-Royans (très joli village, avec un restau panoramiqe dont je ne me souviens plus s'il est bon ou pas), on suit direction "Lyon bis", histoire de nepas payer l'autoroute. Petit détail, le panneau est jaune. Du coup on se retrouve à remonté la Drôme par les départementales (voir les communalles parfois). Mieux : arriver à Beaurepair, bled paumé au milieu de la campagne, il n'y a plus de panneaux pour Lyon. Moon suit Paris (qui est dans la même direction que Grenoble), je le force, carte IGN en main, à prendre une autre route de campagne. Enfin, on arrive à Lyon pour l'heure du bain, et je suis bien content de mon week-end.

05 août 2005

Oublis

Hier soir, fin de journée, je prend mon portable pour préparer ma soirée. Je ne suis pas encore arrivé à Lyon, limite sur le parking du boulot. Jusque là, rien de particulier.
J'arrive chez moi, une heure a passer, p'tite sieste. Au retour sur terre : quelle heure est-il ? Mon portable, l'est où ? Et merde, il est resté dans la voiture. Bon, ben comme je ne sais pas où habite mon chauffeur ni comment le joindre, c'est pas grave, je l'attendrais demain (sans penser que mon portable est le seul truc qui puisse sonner le matin pour me reveiller).

Bon, un peu plus tard dans la soirée, je subtilise les clés de quelqu'un, histoire de l'empecher de rentrer. Bon, la personne en question ne remarque rien, on fait le chemin du retour ensemble, on se dit au revoir au détour d'un carrefour. J'arrive chez moi : c'est bizarre, j'ai des clés qui ne sont pas les miennes : et merde, j'ai oublié de lui les rendre ! Bon, ben, je n'ai ni son numéro de téléphone ni son adresse, ça va être marrant dans les rues de Lyon pour se retrouver !

Bon, au final, je lui ai rendu ses clés au bout de 20mn, et je me suis reveillé tranquille ce matin sans réveil. Vive moi !

03 août 2005

Automne

Région très spécial que Lyon. Le mois d'août vient à peine de démarrer, et l'on se prend à attendre les chataignes et les noisettes. Pourtant il reste encore quelques semaines avant qu'elles n'arrivent normalement.
Cela est peut-être du à la pluie qui est tombée vendredi et hier, aux températures presques fraiches (17°c le matin, on se gèle, lol).

01 août 2005

Week-end à Pont d'Ain

Vendredi soir, pour bien démarré le week-end, une bonne averse (de 14h à 23h, avec quelques coupures et de l'eau qui mouille) est passé sur Lyon. Bilan, chute de la température d'une dizaine de degrés.
Que faire dans ces cas-là ? Et bien la solution adoptée a été d'aller faire un tour dans l'Ain pour se rafraichir. Car avec 10° de moins, il fait toujours plus chaud à Lyon qu'en Bretagne !
Donc samedi matin, levé 7h pour rejoindre mon chauffeur et tracer à Pont d'Ain. Là-bas, 22km de kayak nous attendait, sous un ciel somme toute assez bleu (en tout cas c'est ce que mes jambes rouges me disent).
Après quelques retournements et prise d'eau (presque pas volontaire), arrivé au camping (merci Moon pour la tente).
Et pis le lendemain, brocante (à Pont d'Ain toujours) et promenade dans les bois alentour. Un bon p'tit week-end quoi.